Certes, l’éditeur du site Internet VIGILE.net a tous les droits, il est chez lui, dans SON site Internet privé. Mais à partir du moment où il préside aux travaux d’une « Tribune LIBRE », ses visiteur.es sont en droit de s’attendre à ce que tous les points de vue puissent y être publiés, pour peu qu’ils respectent les règles édictées par l’éditeur, à charge des lecteur,trices de se faire une opinion. À défaut, il est question de fausse représentation, de leurre. VIGILE.net n’est pas libre, l’éditeur censure, et pas seulement que les textes canadianisateurs qui lui parviennent. Et, il ne censure pas les attaques aux personnes, puisqu’il y a recours ici même.
Aujourd’hui l’éditeur prétend que nos textes ne respectent pas les règles, c’est faux. Il s’agit pour lui de censurer une parole citoyenne qui contredit valablement et efficacement sa position éditoriale. Cette Tribune de VIGILE.net n’est pas libre.
Quant aux attaques ad hominem qui seraient d’après lui mon fait, elles sont plutôt celles que l’éditeur a accepté de publier, contre son règlement, et qui ont été proférées à mon endroit à celui de plusieurs autres personnes, ce que j’ai déploré, réclamant le respect de cette règle essentielle permettant aux débats citoyens de se tenir dans des conditions favorables.
L’éditeur a refusé de publier nos communiqués parties de l’Opération VIGILE du samedi, ils n’étaient pas « fleuve ». Mais avaient le malheur d’appeler à l’UNION de nos forces citoyennes et politiques. Ce qui contredit la position éditorial de VIGILE.net, puisqu’il met de l’avant l’UNITÉ sous un nouveau parti indépendantiste. Cela se discute ou pas !? Sous Tribune LIBRE ou pas !?
Quant aux textes fleuves, on nous a dit qu’ils pouvaient être publiés en tant que titre, mais pas en tant que commentaires. Voilà maintenant qu’ils ne devraient pas l’être dans mon cas, alors que mes textes ne sont pas fleuve que bien d’autres rivières.
L’éditeur a publié mes textes et commentaires transmis ici peu de temps après la publication le 15 juillet 2008 de mon « Mot de bienvenue à Sir Paul » qui a fait tant de bruit pendant le 400e afin de blâmer les « séparatissse » puisqu’il avait été endossé notamment par Pierre Curzi. Ce, jusqu’à ce que l’insulte matamore à mon endroit propage sa terreur ici, ce contre quoi je me suis objecté. L’éditeur a le culot de reprendre mon qualificatif pour le retourner contre moi. Mimétisme sophistique typique de la droite fasciste qui recycle les attaques pour les utiliser contre les attaquants.
L’éditeur invoque ici l’idiosyncrasie supposée de ma personne pour censurer une parole citoyenne qui contre valablement et efficacement son parti-pris éditorial. Si efficacement qu’il ne veut surtout pas que l’intelligence de ses lecteurs, captifs, y soit exposée. Du moins, sa censure le démontre clairement.
« IDIOSYNCRASIE - En philosophie, l’idiosyncrasie est un ensemble de particularités et de traits de caractère propres à chaque individu, qui représente ce qu’il est en tant qu’être conscient, ce qui définit son ontologie. » Wikipédia
He OUI ! Je suis un être conscient disposant de traits de caractère propres. Chacun son style... Quel est le problème !?
On remarquera que l’éditeur n’a retenu que la définition psychiatrique du terme savant qu’il emploie pour s’attaquer à ma personne. Les fonctionnaires et technocrates de la dictature soviétique n’ont pas fait mieux pour remplacer les goulags : ils ont psychiatrisé leurs opposants. Et ça marche toujours...
Le problème c’est que l’éditeur et ses partisans de l’enfoncement du Bloc/PQ sont contrariés parce que mes contributions ont valablement contré leurs arguments. La meute contrariée s’en est prise à la forme, incapable de valablement contredire mes arguments sur le fond, elle a fait pression sur l’éditeur, menaçant de retirer leur financement à ses activités. Il a tranché le 1er septembre 2009, sous les hourras de la meute.
Cf : Vigile-2009 09 01-BERNARD FRAPPIER-Nouvelle formule appliquée au commentaire de Tribune libre
Mais les partisans du Bloc/PQ ne sont pas davantage ravis par nos contributions, parce qu’elles réprouvent leurs politiques de l’évitement et dénoncent leur volonté d’Agir seuls. Nous proposons l’UNION de nos forces.
La prôner ligue contre nous tout ce qui bouge, grouille, grenouille et scribouille dans le monde politique traditionnel qui pense l’UNION impossible. Comme si ce peuple ne pouvait être comme les autres, capables d’élire une COALITION, alors qu’il la souhaite, à Ottawa comme à Québec, d’autant qu’il a majoritairement élu le NPIDI, qui était le seul parti voulant la faire, qui était capable de la faire…
L’UNION de nos forces, ça se discute ou pas !? Pas ici du moins, puisqu’ici, la Tribune m’est pas effectivement LIBRE. Elle ne l’est pas puisque l’éditeur a pris parti, furtivement hier, ouvertement aujourd’hui, et il a censuré et censure toujours nos contributions citoyennes qui contrent ses vues, « privées ». Sa Tribune doit donc être retitrée. Tribune PRIVÉE, de VIGILEFRAPPIER.net
L’éditeur s’attaque à ma personne et dit que j’ai la rage… pour me noyer. Il n’a pas tort, il faut noyer ce qui dépasse. C’est crucial quand on veut imposer ses vues. Et, je dépasse, c’est mon métier d’artiste qui m’a donné la force de savoir comment dépasser ce qui normalement limite les autres. Et il n’a pas tort, j’ai la rage. J’enrage de voir tant d’efforts humains se heurter au mur de notre division, de la dépression de notre enfoncement, de notre démission. J’ai la rage, mais me raisonne. Je prône, nous prônons, l’UNION de nos forces, et j’en suis une de force, qu’on le veuille ou non. Je m’oppose avec détermination et constance à ce qui la contre cette UNION. Dommage pour celles et ceux qui encouragent l’UNITÉ singulière, nous encourageons l’UNION plurielle. J’existe et il n’est pas question que je me couche et me décourage, ni que je fasse semblant que je n’existe pas. Ça tombe bien, collectivement, l’enjeu est là. Nous existons. Nous sommes un peuple. Nous sommes le peuple souverain du Québec.
En censurant cette parole citoyenne, puisqu’il a le pouvoir unilatéral de cacher aux usagers de SA Tribune prétendument fallacieusement LIBRE les textes qui ne font pas son affaire, l’éditeur vaincra peut-être, mais sans péril. Il triomphera donc, peut-être, mais sans gloire.
Morale, si vous êtes ce que vous êtes, prenez garde, il vous faudra montrer patte blanche si vous voulez être publiés dans MA Tribune, vous avez intérêt à ne pas me contrarier trop efficacement.
Merde aux partisans de la division de nos forces.
Soit dit en passant, ce n’est pas parce que Gérald Larose s’y est cassé les dents qu’il ne faut pas persévérer. D’abord, sur quelles bases a-t-il proposé l’UNION ? Était-ce les bonnes. Est-il infaillible ?
Si l’éditeur a l’intention de prétendre encore qu’il anime bel et bien une Tribune LIBRE, qu’il publie nos textes qu’il a refusé jusqu’à maintenant de publier. Les lecteur,trices auront au moins le loisir de juger par eux,elles-mêmes. Qu’il publie dans son volet COMMUNIQUÉ, le lien menant à notre contribution citoyenne relative à l’Opération VIGILE du samedi qui depuis le 19 février dernier occupe tous les samedis à 14h la Place du peuple souverain du Québec à Québec, et maintenant aussi qui nous rassemble à Montréal, au Mont St-Hilaire et à Gatineau.
@ défaut, on est ici face à une claire falsification. Cette Tribune de VIGILE.net, est tout sauf LIBRE. Comment pourrait-elle annoncer, préparer, magnifier, justifier l’avènement d’un Québec libre !?
Fleuve dites-vous !? Quel est le problème !? Qui est tenu de me lire ?
@ pseuso Gébé Tremblay, merci d’écrire mon nom comme je le porte...
Luc Archambault, artiste et citoyen
PÉTITION pour la réunion de la CONSTITUANTE BICAMÉRALE
