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TEXTE de PRÉSENTATION - CN-DSQ | COALITION NATIONALE - Démocratie et Souveraineté du Québec
Cf - PÉTITION pour la CN-DSQ | COALITION NATIONALE | Démocratie et Souveraineté du Québec
CN-DSQ | COALITION NATIONALE | Démocratie et Souveraineté du Québec
Pour une COALITION trans-partisane, trans-idéologique, trans-générationnelle et trans-culturelle québécoise
- Pour contrer la fausse coaltion Sirois/Legault ;
- Pour faire l'UNION des forces démocratiques du peuple Souverain du Québec ;
- Pour faire des prochaines élections à venir à Québec et à Ottawa des élections décisives.
Le sens d'un vote décisif
Un vote pour les partis de la CN-DSQ | COALITION NATIONALE | Démocratie et Souveraineté du Québec incluant le PQ, QS, le Bloc québécois, etc... proclame à la face du monde libre et démocratique ce qui suit :
- NOUS sommes le peuple souverain du Québec et notre territoire national est le Québec ;
- NOUS, Le PEUPLE, nous disposons de nos pleins pouvoirs démocratiques pour commander à la députation que nous élisons aujourd'hui :
de réunir toute notre députation du Québec sous CONSTITUANTE BICAMÉRALE afin qu'elle se prononce pour :
-
INVALIDER tout État qui n'a pas obtenu le OUI de la démocratie québécoise ;
-
Rédiger et adopter la Constitution primordiale de la République démocratique du peuple souverain du Québec ;
-
Appeler l'ANQ-Assemblée nationale du Québec à voter ces deux Actes constituants ;
-
Appeler l'ANQ à les rendre effectifs dès après que Nous, le peuple, ayons dit OUI à chacun de ces deux Actes constituants.
Ce qui à la face du monde libre fait en sorte que le peuple souverain du Québec reconnait comme seule valide et légitime Autorité sur notre sol national du Québec :
- La République démocratique du peuple souverain du Québec ;
- Une République disposant de tous les pouvoirs d’État, reconnus aux États membres des Nations-Unies ;
VOIR les VII Actes constituants à poser ( ici-bas )
Voir aussi : TEXTES | REPÈRES & RÉFÉRENCES
Opération VIGILE du samedi | la PAROLE CITOYENNE en Acte | Québec | Montréal | Mont St-Hilaire | Gatineau
Questionnaire DÉM0CRATIQUE statutaire | Démocratie et Souveraineté | 2012 04 02
Cochez OUI | Cochez NON – Ça ne peut pas être les deux | En gras : version courte de 10 questions
Fédérer les DÉMOCRATES québécois,es transcende la division souverainiste/autonomiste/fédéraliste
-
Je veux vivre en démocratie, dans un État vraiment démocratique ? OUI / NON
-
En démocratie c'est le peuple qui est le patron de l'État, c'est le peuple qui est Le Souverain ? OUI / NON
-
Nous, au Québec, nous sommes un peuple démocratique, donc nous sommes le peuple Souverain du Québec, la seule VALIDE Autorité démocratique suprême sur NOTRE sol national du Québec ? OUI / NON
-
Le peuple souverain du Québec veut vivre dans un État démocratique ? OUI / NON
-
Ce qui distingue la dictature de l’État de droit démocratique où trône au sommet le peuple, c’est le plein respect de la souveraineté démocratique du peuple sur SON sol et sous-sol national ? OUI / NON
-
Le PEUPLE est EFFECTIVEMENT et CLAIREMENT la seule Autorité démocratique suprême de l’État et trône au sommet de l’État du PEUPLE quand, et seulement quand, il approuve par référendum le libellé des Actes constituants de l’État qui s’applique sur son territoire national ? OUI / NON
-
Quand donc la Constitution du Canada a-t-elle été soumise à référendum ? JAMAIS - OUI / NON
-
TOUS les États démocratiques DOIVENT obtenir le clair OUI de la démocratie québécoise ? OUI / NON
-
Tout État dont la Constitution n’a pas été soumise à référendum est démocratiquement ILLÉGITIME quand elle est contestée par le peuple, par la députation du peuple et par le gouvernement du peuple ? OUI / NON
-
Qu’est-ce qu’un État qui, de force et d’autorité impériale, impose au peuple par-dessus la tête du peuple, des Actes constituants qui n’ont pas l’aval du peuple, sinon une dictature ? OUI / NON
-
Gouverner ce peuple en tolérant ce qui NIE la PRIMAUTÉ de sa souveraineté démocratique, relève de la gouvernance collabo d’une dictature d’occupation démocratiquement inacceptable ? OUI / NON
-
Le peuple souverain du Québec dispose des PLEINS POUVOIRS et DROITS démocratiques capables d’INVALIDER sur SON sol et sous-sol national du Québec TOUT État qui n’a pas obtenu le clair OUI de la démocratie électorale et référendaire québécoise ? OUI / NON
-
Le peuple souverain du Québec doit pouvoir élire sans condition ni délai une députation qui s’ENGAGE à l’APPELER à INVALIDER tout État qui n'a pas obtenu le CLAIR OUI de la démocratie électorale et référendaire Québécoise ? OUI / NON
-
Un référendum tenu au Québec sur cette question de la primauté démocratique de la souveraineté du peuple obtient une majorité des voix située entre 65% et 85% ? OUI / NON
-
Un référendum gagnant tenu au Québec portant sur cette question confirme le vide d'État démocratique légitime actuel et fait s’effondrer l’État ILLÉGITIME du Québec/Canada à la face du monde libre ? OUI / NON
-
Devra succéder au vide d’État démocratique actuel un plein démocratique sous république démocratique : la République démocratique du peuple souverain du Québec ? OUI / NON
-
Vous êtes en faveur de la CONSTITUTION PRIMORDIALE de la République démocratique du peuple souverain du Québec qui fait du peuple souverain du Québec la seule valide Autorité démocratique suprême sur SON sol et sous-sol national du Québec ? OUI / NON
-
Il est grand temps que les élites soit disant souverainistes de ce peuple le soient vraiment et cessent de prévoir GOUVERNER le peuple en tolérant que s’impose une dictature d’occupation canadianisatrice INCAPABLE d’obtenir le libre et SOUVERAIN aval référendaire de ce peuple ? OUI / NON
-
Les partis politiques doivent s’ENGAGER à appeler sans délai ni condition le PEUPLE SOUVERAIN du Québec à trancher ; ou bien il consent à la dictature d’occupation actuelle qui s’impose de force et d’autorité sur SON sol et sous-sol national du Québec sans avoir obtenu l’aval du peuple, ou bien le peuple souverain du Québec INVALIDE pour toujours TOUT État qui n’a pas obtenu le clair OUI de la démocratie électorale et référendaire québécoise ? OUI / NON
-
Ce qui fait place nette pour fonder la République démocratique du peuple souverain du… ? OUI / NON
Imprimez et demandez à quiconque de répondre à ce questionnaire et colligez les réponses.
50% + 1 des réponses OUI à toutes ces questions fait l'UNION des forces démocratiques de ce peuple autour de la CN-DSQ | COALITION NATIONALE | Démocratie et Souveraineté du Québec | jesignequebec.com
VERSION pdf de ce questionnaire - 1 page imprimable
Schéma-plan décrivant le dispositif politique de rupture d'avec le statu quo de blocage actuel
La Résistance démocratique québécoise met fin à 252 ans de gouvernance collabo de gouverments candianisateurs ou autres qui NIENT la primauté effective de la souveraineté du peuple du Québec sur SON sol national.
Les Actes d'État posés par les tous les gouvernements du Québec, fédéralistes ou souverainistes depuis la Révolution tranquille n'ont mené et ne mèneront qu'à l'impasse d'un cercle vicieux qu'il faut rompre tant et aussi longtemps que ce peuple ne sera pas appelé à INVALIDER le statu autocrate ARBITRAIRE de l'État illégitime du Québec/Canada qui n'a jamais obtenu le OUI de la démocratie québécoise.
Pour BRISER le cercle vicieux autocrate de l'État ILLÉGITIME actuel il faut mettre fin à la gouvernance collabo.
APPEL à la Résistance démcoratique québécoise
Dans son texte publié le 5 août dans la Tribune libre de VIGILE.net intitulé « Il faut du changement ! -Le destin de la nation est en jeu-Réponse aux idéalistes du Grand Soir » Rhéal Mathieu propose de nous en remettre au modèle JOHSON/de Gaulle décrit par Félix Pinel en 2007.
Dans ce modèle, le gouvernement du Québec pose sans cesse des « Actes d'État » qui chaque fois nous rapproche de l'indépendance. Rhéal Mathieu cite Charles de Gaulle, mais omet une chose essentielle. Prendre Acte du cri de général lancé en 1967. VIVE le Québec LIBRE ! n'est pas que vain mot.
Si le modèle de De Gaulle était bien celui que décrit Félix Pinel, son voyage au Québec, change tout puisqu'il s'écrit VIVLE le Québec LIBRE !
Voilà ce dont il nous faut prendre Acte. De Gaulle est venu, a vu et a compris que l'état d'avancement du Québec, sa « modernité », faisait de son État un État viable et mûr pour être un État à part entière. D'où son cri.
Un cri écho à celui qu'il a lancé dans son Appel à la résistance du 18 juin 1940. [Texte] et celui du 22 juin 1940. VIVE la France libre ! Mais son cri a mis du temps à être entendu. À telle enseigne qu'un certain François Mitterand n'en a pris effectivement Acte qu'en 1943. Et, nous, nous mettons beaucoup de temps à prendre acte de son cri écho.
Pourtant, il était donc question en 1967 déjà, de mettre fin ici comme en France, à la gouvernance collabo, à la capitulation. Cette gouvernance collabo qui a été jusqu'à maintenant le fait de tous nos gouvernements depuis 60 ans, longtemps après le VIVE le Québec libre de De Gaulle...
Depuis 60 ans, oui, des « Actes d'État » ont été posés, mais ils n'ont pas mené à la libération de ce peuple. Ils sont été posés dans le cadre d'une gouvernance collabo qui n'a jamais rompu avec l'occupant. Ainsi, ces Actes nous ont fait tourner en rond parce qu'ils sont posés par un État du Québec/Canada ILLÉGITIME que rien ne vient contredire. Il s'impose impunément contre le libre gré de ce peuple qui est exclu de la donne à cet égard. Jamais il n'a été appelé à se prononcer sur l'État actuel bien réel. Ni par les partisans de l'indépendance, NI par la minorité activiste canadianisatrice qui est incapable d'obtenir le OUI de ce peuple.
Il faut briser ce cercle vicieux et ce n'est pas en continuant à vouloir former des gouvernements collabos qu'on va y parvenir, comme le propose le PQ et comme nous y invite Rhéal Mathieu. Il nous faut donc un autre modèle. Un modèle qui prend Acte du cri du général de Gaulle. Enfin !
La Résistance démocratique
La fin de la gouvernance collabo et le début de la Résistance démocratique commence le jour où la députation en exercice et candidate du Québec s'ENGAGE à cesser de tolérer ce qui NIE la primauté effective de la souveraineté du peuple, ce avant les prochaines élections, pour faire de ces élections des élections décisives.
Cela dans l'UNION de nos forces de la Résistance démocratique. Comme l'a pu faire de Gaulle, par delà les allégeances partisanes de droite ou de gauche. C'est ce que la Résistance française a pu faire, des communistes à la droite nationaliste.
Nous pouvons le faire sous COALITION NATIONALE | Démocratie et Souveraineté.
VII Actes constituants fondateurs de
- l'effective primauté de la souveraineté démocratique du peuple du Québec sur son sol et son sous-sol national du Québec
- de l'effective souveraineté de l'État démocratique républicain du peuple Souverain du Québec :
L'Acte d'État I, c'est la formation de la COALITION NATIONALE | Démocratie et Souveraineté du Québec qui rompt avec la gouvernance collabo et qui engage autour du présent Programme COMMUN d'État une action de résistance radicalement démocratique ;
L'Acte d'État II, c'est l'élection d'un gouvernement de COALITION NATIONALE multipartite majoritaire en siège et si possible en voix ; cf le Dispositif de Proportionnelle pragmatique permettant aux partis de la Coalition nationale de battre les partis adversaires de la Coalition nationale ;
L'Acte d'État III, l'ANQ-Assemblée nationale convoque la réunion de la CONSTITUANTE BICAMÉRALE qui adopte la PROCALAMATION de l'INVALIDITÉ sur le territoire national du peuple souverain du Québec de tout État qui n'a pas obtenu le clair OUI de la démocratie électorale et référendaire québécoise ; et qui rédige et adopte la Constitution primordiale de la République démocratique du peuple souverain du Québec ;
L'Acte d'État IV, l'ANQ s'empare de ces deux Actes constituants et les adopte ; l'ANQ modifie la loi référendaire pour : permettre les référendums d'initiatives populaires, à double question et à deux tours ; pour inclure la supervision des Nations-Unies pour que soient respectées cette loi référendaire par tous les États y compris par le Canada qui n'aura pas droit de désaveux ni de désobéissance ; pour donner pouvoir à l'ANQ de reporter le vote de 8 jours en cas de non-respect appréhendé de cette loi référendaire par l'une des parties en présence ;
L'Acte d'État V, le peuple se prononce et dit OUI à la Proclamation de l'INVALIDITÉ sur le territoire national du peuple souverain du Québec de tout État qui n'a pas obtenu le clair OUI de la démocratie électorale et référendaire québécoise ; et dit OUI à la Constitution primordiActe d'État VIale de la République démocratique du peuple souverain du Québec.
L'Acte d'État VI, l'ANPSQ-Assemblée nationale du peuple souverain du Québec proclame sur le territoire du peuple Souverain du Québec la primauté effective de la CONSTITUTION PRIMORDIALE de la RDPSQ-République démocratique du peuple souverain du Québec ; déclenche les élections présidentielles et l'élection de la députation de la Chambre des régions du Québec ( qui rapatrie définitivement la députation du Québec siégeant à Ottawa ) ;
L'Acte d'État VII, dès après ces élections, l'ANPSQ convoque la réunion de la CONSTITUANTE BICAMÉRALE qui a pour mandat d'appeler le peuple Souverain du Québec à rénover de fonds en comble les Actes constitutifs ayant cours légal dans la nouvelle RDPSQ en vertu de la CONSTITUTION PRIMORDIALE, afin de la modeler à son image et à sa ressemblance à travers un large consultation populaire ; au terme de cet exercice de démocratie participative la CONSTITUANTE BICAMÉRALE rédige et adopte des textes constituants qui reflètent les volontés constituantes du peuple souverain du Québec et engage une deuxième ronde de consultation populaire pour discuter de chacun des termes constituants adoptés par la BICAMÉRALE ; les partis politiques se prononcent ; une deuxième mouture est rédigée et adoptée par la CONSTITUANTE BICAMÉRALE et c'est ce projet qui est soumis à l'approbation de l'ANPSQ ; enfin, un référendum permet de mettre en vigueur en tout ou en partie la CONSTITUTION de la RDPSQ ; un OUI clôt le débat ; un NON commande une nouvelle ronde de consultation populaire ; d'éventuels amendements constitutifs sectoriels pourront être soumis à référendums constituants sur initiative populaire ou de par la décision de l'ANPSQ.
Ce qui permet rompre avec la tutelle canadianisatrice et qui fait s'effondrer sur notre territoire national du Québec l'État ILLÉGITIME du Québec/Canada. Un État illégitime remplacé par République démocratique du peuple souverain du Québec, le seul État valide et légitime reconnu par ce peuple Souverain sur SON sol national du Québec, ce, à la face du monde libre.
On passe de la tutelle autocrate ( en rouge dans le schéma ), à une démocratie en devenir qui cesse de tourner en rond ( en bleu ), dans le trait carré vicieux d'un État illégitime que rien ne contredit ( rectangle ouvert par l'expression de la parole du peuple ). En blanc c'est l'espace démocratique dans lequel s'exprime la volonté libre d'un peuple Souverain, fondateur de Sa République.
Les prochaines semaines de la rentrée de septembre 2011 seront cruciales pour que s'opère la rupture d'avec la gouvernance collabo. Le PQ devra y renoncer s'il veut pouvoir se différencier de la gouvernance collabo de la fausse Coaltion SIROIS/Legault. À défaut, rien ne pourra permettre aux démocrates souverainistes de faire la différence entre le PQ, QS, S/L, ou un nouveau parti indépendantistes qui refuserait lui aussi de mettre fin à la gouvernance collabo, comme le cri du général de Gaulle nous y invitait, il y a de ça déjà 44 ans.
La fin de la politique collabo des partis souverainistes est l'Acte d'Éat premier à poser.
Briser la entraves
Ce qui s'oppose à l'émergence de la COALITION NATIONALE | Démocratie et Souveraineté du Québec | CN-DSQ |
Rien ne semble indiquer qu’un « référendum » serait prochainement « gagnant ». Tant et aussi longtemps qu’on pense que rien de déterminant ne peut être engagé du côté de la « souveraineté » dès les prochaines élections à tenir à Québec, rien ne pourra permettre de changer le modus operandi traditionnel des états-majors politiques des partis souverainistes, le PQ pas plus que les autres.
Pas même le résultat du 2 mai 2011 qui a pourtant consacré de manière éclatante la plus totale faillite des stratégies coutumières de l’évitement, du moins si on en juge le récent comportement de QS et du PQ, ne semble en mesure de faire bouger la députation du Québec.
Pour créer les conditions permettant aux états-majors du PQ, de QS, de l’ADQ et de l’éventuel parti CAQ, de changer leur modus operandi traditionnel il faut agir donc sur cette perception qui leur fait croire et nous fait croire que rien d’autre que l’imminence d’un « référendum » sur la souveraineté de l’État, est en mesure d'être déterminants quant à la question nationale, dès les prochaines élections à tenir à Québec et Ottawa.
Rien ne pourra permettre de le faire tant et aussi longtemps que la direction du PQ pourra croire et faire croire que le pouvoir est à portée de main. Trop d’intérêts sont en jeu, trop de personnes salivent, et ce n’est pas parce qu’elles prennent la parole. Ce serait plutôt le contraire et parce qu’elles gardent le silence. Pas étonnant que ces personnes perçoivent comme inapproprié le fait de prendre la parole et de briser le silence comme l’ont voulu faire les quatre démissionnaires du PQ et Bernard Drainville toujours dans le PQ.
Quant à eux, les propagandistes canadianisateurs feront tout pour entretenir l’idée qu’un « référendum » serait perdant. On s’assure ainsi que le modus operandi politique traditionnel empêchera les partis d’opposition de faire l’UNION de leurs forces pour mettre au pouvoir la majorité.
Le « référendum » sur la souveraineté de l’État, n’est pas pour demain. Soit !
Mais il n’y a pas que ce « référendum » et que la souveraineté de l’État qui puissent permettre d’INVALIDER l’État illégitime actuel incapable d’obtenir le OUI de la démocratie québécoise et qui bloque le Québec. Et il n’y a pas non plus que la politique de l’autruche qui n’en tient pas compte et qui pense pouvoir AGIR en toute liberté alors que l’État illégitime actuel du Québec/Canada NIE la primauté effective de la souveraineté de ce peuple depuis 253 ans cette année 2011.
Il y a une autre avenue… DÉMOCRATIE et SOUVERAINETÉ
Tous les partis politiques du Québec et leur députation en exercice ou candidate aux élections à Québec et à Ottawa, ont en COMMUN le fait d’évacuer une question fondamentale. L’État actuel du Canada se trouve par défaut à fouler aux pieds le principe premier de la démocratie, à savoir, la primauté effective de la souveraineté du peuple.
Mêmes les partis dits « souverainistes » abondent à cet évitement, autant QS que le PQ, alors que l’État du Canada NIE cette primauté irréductible en s’abstenant de solliciter et d’obtenir le OUI de la démocratie québécoise. Les partis dits « souverainistes » ou « démocratiques » sont complices de cette négation antidémocratique quand ils tolèrent sans rien faire cette négation du principe premier de la démocratie. Ce qu’ils ont fait dans l’opposition ou au pouvoir depuis 50 ans.
Ils se sont trouvés et se trouvent toujours, en ne faisant rien pour contrer cette négation, que de subordonner la souveraineté du peuple à la souveraineté de l’État. L’avènement toujours pour demain de la souveraineté de l’État est la condition pour que s’applique la démocratie et soit effective la souveraineté du peuple. Voilà 50 ans que ça dure.
Ce négationnisme permet à tous les partis politiques de prétendre à la majorité de la députation du Québec ou au pouvoir du gouvernement du Québec, sans rien changer du modus operandi traditionnel de cet État démocratiquement illégitime dont le système électoral uninominal à un tour favorise l’élection au pouvoir de la minorité des voix peu importe le nombre des sièges obtenus. Ainsi, la démocratie canadian est non seulement tronquée au sommet, parce qu’elle n’a pas obtenu le OUI des Québécois,es, mais elle est de plus corrompue à la base, parce qu’elle rend presqu’impossible l’accès de la majorité au pouvoir.
Seule une COALITION NATIONALE pourrait aujourd’hui permettre dans ce morcellement des partis politiques le fait que la majorité qui répudie l’État illégitime actuel, puisse prendre le pouvoir au gouvernement du peuple souverain du Québec, et permettre d’en INVALIDER l’illégitime légalité, peu importe l’État qui gouverne le gouvernement qui gouverne le peuple.
En cette absence, à quoi assiste-t-on ? À la perpétuelle concurrence des partis sur la seule gouvernance de l’État. Chacun se gardant bien d’engager quoi que ce soit quant à ce qui pourrait contrer ce qui NIE la primauté effective de la souveraineté démocratique du peuple. Et le fait qu’on porte le flambeau démocratie ou souverainiste n’y change rien. Action démocratique, et Nouveau parti démocratique, ne sont démocratique que de convenance superficielle et les « souverainistes », tout autant, puisqu’ils tolèrent la claire NÉGATION de la souveraineté du peuple du Québec sur SON sol national. C’est l’impasse ! Faute de se gouverner en conséquence de la plus élémentaire des démocraties.
Ce n’est pas pour rien qu’une COALITION AVENIR du Québec à venir peut caracoler en tête des sondages. Ce peuple n’attend que ça, une COALITION des partis politiques pour mettre fin à ce qui divise les partis au présent.
Tant que les prochaines élections n’apparaîtront pas cruciales quant au destin démocratique et souverain de ce peuple souverain, les partis, leurs directions, états-majors, stratèges et députations, seront et demeureront sourds à toute nouvelle façon de faire de la politique, en dépit de toutes leurs professions de foi fallacieuses à cet égard. Et ce, tant qu’elles continueront à prétendre au gouvernement du peuple en tolérant que la souveraineté du peuple soit NIÉE dans l’État qu’ils pensent gouverner à bons droits démocratiques. Ce ne sont pas ces instances politiques qui feront quelque pas dans cette direction pour faire des prochaines élections un enjeu démocratique fondateur.
Ce ne pourra être que des personnes ou un groupe de personnes échappant à la force d’inertie de ces instances. Et le succès de ces forces nouvelles sera tributaire de leur capacité à faire apparaître les prochaines élections comme historiques quant à l’enjeu fondamental de la démocratie et de la souveraineté du peuple, puisque la souveraineté de l’État n’est pas de la partie. Ce n’est pas une question de volonté, mais d’enjeux et de rapports de forces.
La souveraineté de l’État ne peut être qu’un enjeu lointain et virtuel, à mettre de l’avant, à préparer, ce qui n’engage rien quant à la souveraineté du peuple. Par contre, la souveraineté du peuple peut être un enjeu proche et concret. Suffit de se réclamer d’elle pour S’ENGAGER à la rendre effective sans condition ni délai en s’engageant à APPELER ce peuple à trancher dès après les prochaines élections.
Sans cet ENGAGEMENT concret capable de rendre effective la souveraineté de ce peuple et qui cesse de tolérer ce qui dans l’État illégitime du Canada en NIE l’effectivité, rien ne peut contrer la force d’inertie des forces politiques du Québec.
Par contre, un tel COMMUN engagement peut faire sur la Raison d’État, l’UNION des forces démocratiques de ce peuple souverain et faire des prochaines élections une élection historique à l’enjeu crucial. Ce qui seul peut forcer les partis à espérer pouvoir être du gouvernement de COALITION NATIONALE qui prendra le pouvoir et qui mettre au pouvoir la majorité, contre la minorité de blocage politicienne et opportuniste.
La situation actuelle
Dans la situation actuelle ou aucun enjeu crucial n’est partie de la donne des prochaines élections, voyons voir comment chaque parti a jusqu’à maintenant pensé avoir tout intérêt à décourager l’émergence d’un tel enjeu pour user sans complications du modus operandi traditionnel qui pourrait le mieux servir ses intérêts.
La minorité canadianisatrice qui appuie le PLQ a tout intérêt à diviser la majorité québécoise qui répudie le statu quo de blocage actuel. Elle y parvient en accréditant l’idée fausse que les Québécois,es ne veulent pas de la « souveraineté ». L’absence d’enjeu qui menace ce statu quo ne peut que diviser les forces souverainistes et contribuer ainsi à la division de la majorité, pour que s’impose la minorité canadianisatrice.
QS a tout intérêt à pouvoir sans retenue soutirer au PQ le vote des souverainistes désenchanté,es, découragé,es, par l’absence d’enjeu peu importe leur affinité avec la gauche. Le PQ lui, pense pouvoir contrer l’hémorragie vers QS parce qu’il ne peut prendre le pouvoir. Pour l’heure la menace de l’ADQ et de la CAQ est conjurée par leur division.
Les souverainistes quant à eux ont au contraire tout intérêt à ce qu’un enjeu crucial puisse faire de ces élections des élections décisives, mais ils se heurtent à la force d’inertie de la députation du PQ qui pense que la seule solution est de reporter dans le temps l’enjeu de la souveraineté de l’État. C’est cette force d’inertie qui permet à madame Marois de rester bien en selle malgré toutes les enfarges qu’on lui tend ou qui se présentent à elle. Le putsch est difficilement réalisable, et plus le temps passe, plus il serait suicidaire pour la députation du PQ. En effet, JeanJohnJames Charest maitrise l’échéance électorale et pourra en cas de renversement de madame Marois tabler sur la division et la confusion pour déclencher précipitamment des élections pour à la fois couper l’herbe sous le pied du PQ et de François Legault.
La solution est ailleurs que dans le connu
Et elle ne compromet rien des intérêts électoralistes partisans de la députation du PQ qui veut présider le gouvernement, ni rien des mêmes intérêts de QS qui veut augmenter son poids à l’ANQ, ni même ceux de l’ADQ qui cherche à conserver celui qu’elle a encore, ou ceux de François Legault qui dit vouloir faire avancer le Québec.
La solution à l’avantage de toutes ces forces politiques, réside dans le fait de cesser de tolérer l’intolérable négation du principe premier de la démocratie, à savoir, la primauté effective de la souveraineté du peuple. Les souverainistes partisans de la souveraineté de l’État du Québec, se trouvent ainsi revaloriser le principe fondateur de la souveraineté de l’État, en réifiant l’effectivité de la souveraineté première, celle du peuple fondateur de la souveraineté de l’État.
Aucun démocrate ne peut valablement contredire le bien-fondé de cette primauté, ni ceux de l’Action DÉMOCRATIQUE du Québec, ni ceux du Nouveau parti DÉMOCRATIQUE, encore moins ceux de la Coalition pour l’avenir du Québec : comment pourraient-ils légitimement s’opposer à ce que cet avenir soit démocratique et se déploie dans un État dans lequel on cesse de tolérer ce qui NIE son principe premier, la souveraineté démocratique du peuple.
Quant à ceux du PLQ, ils ne pourront que se rallier à telle Coalition nationale. Ce que bien sûr redoutent au plus haut point les stratèges canadianisateurs. Pour contrer leurs craintes, ne leur suffit que tabler sur la force d’inertie du statu quo de blocage, en encourageant tout ce qui pourra assurer sa pérennité, à coup de sondage décourageant pour la « souveraineté de l’État », à coup de manœuvres parlementaires pour constamment faire de la gouvernance de l’État le seul enjeu des prochaines élections.
Que pourraient-ils contre la souveraineté démocratique du peuple ? RIEN. Car pour en contrer l’effectivité, il leur faudrait s’attaquer au peuple lui-même, à son désir vivre en démocratie, de vivre en complète démocratie.
Ils ne peuvent rien sauf se gouverner en conséquence et présenter aux Québécois,es une Constitution du Canada qui leur soit agréable. Ce que craignent les souverainistes.
Mais pourquoi donc ? Que craignent-ils ? Que ce peuple soit capable de renoncer à ses prérogatives démocratiques qui font de lui l’autorité démocratique suprême sur SON territoire national du Québec ? VRAIMENT !? Alors si ce peuple est incapable, à quoi sert de vouloir le libérer de la tutelle canadianisatrice ? Pour remplacer cette tutelle par la leur ? VRAIMENT !?
Si c’est bien le cas, il ne faut pas s’étonner que ce peuple, tutelle pour tutelle est toujours l’incapable des autres.
Et si ce peuple était bel et bien capable de se gouverner !?
Capable de contrer ce qui NIE la primauté de sa souveraineté démocratique de peuple Souverain, quel est le problème à s’en remettre à lui, pour qu’il tranche la question une bonne fois pour toutes. Ou bien il renonce aux pleins pouvoirs démocratiques qui sont les siens, accepte qu’un État du Canada s’impose sans obtenir son clair OUI, ou bien il se pose dans l’État en tant qu’Autorité démocratique suprême, et INVALIDE tout État qui n’a pas NI sollicité, NI obtenu le clair OUI de la démocratie québécoise.
S’il dit OUI, le Canada, sa légitimité démocratique, sa Couronne canado-britannique illégitime, tout ce qu’abhorre ce peuple souverain, s’effondre à la face du monde libre. Sa Majesté ILLÉGITIME est réduite à la mendicité. C’est lui qui doit dès lors quêter sa reconnaissance au peuple souverain du Québec, et non plus le contraire historique qui a tant exaspéré des générations entières de Québécois,es et de patriotes. Et ça, nous pouvons en faire un enjeu crucial des prochaines élections à Québec et à Ottawa.
Ce qui change le modus operandi traditionnel de la politique québécoise au grand soulagement des québécois,es ; le tout, dans le plus grand respect de l’implacable logique démocratique qui met de l’avant une démarche coalitionnaire radicalement démocratique.
Une VRAIE COALITION consistante, gagnante
Cet enjeu fait des prochaines élections, des élections historiques. Les Québécois,es approuvaient la formation de la COALITION de Stéphane Dion. Ce n’est pas pour rien qu’ils ont été charmés par la COALTION avenir du Québec, et qu’ils aient voté pour le parti qui seul avait pris parti pour la COALITION à Ottawa, le NPD…
(Politique) Réunion de différents partis, ligue de plusieurs puissances. Wikitionnaire
Seul moyen de contrer les fausses COALITONS comme celle de François Legault, c'est d'en former une VRAIE. Les Québécois,es veulent une COALITION. Ne reste qu'à se donner les moyens d'en constituer une vraie, entre plusieurs partis. Entre le Bloc, le PQ, QS et l'ADQ, Legault sera ensuite forcé d'y adhérer, non plus en tant que mentor, mais en tant que partenaire comme un autre.
Nous pouvons la faire cette COALITION sur la base du principe premier de la DÉMOCRATIE, à savoir, la souveraineté du peuple.
Le modus operandi coutumier fait place au déploiement d’autres forces démocratiques. L’enjeu n’est plus le gouvernement provincial, mais la démocratie dans l’État illégitime actuel. Cet enjeu oblige les partis à transcender leur habituel électoralisme partisan, au moins sur la raison d’État.
Quand on parlera de souveraineté, il faudra distinguer entre souveraineté du peuple et souveraineté de l’État. L’amalgame ne sera plus possible. La distinction démocratique sera de mise. Cette distinction à elle seule change la donne canadianisatrice. Elle prive les activistes canadianisateurs du facile enfoncement de l’État à venir, supposé fragile, si leurs menaces de représailles sont mises à exécution. Les prive de la disqualification des élites souverainistes aspirant à leur « flag sur le hood » de leurs futures limousines, puisqu’on parle des limousines de l’État actuel, ILLÉGITIME, puisqu’il est incapable d’obtenir le OUI de la démocratie québécoise.
Ils ne peuvent plus se contenter de prétendre que « la souveraineté » ne passe pas, que les Québécois,es n’en veulent pas, que le référendum est perdant. Ils ne le peuvent plus parce qu’il est question de démocratie, de la base au sommet de l’État, quel qu’il soit, Canada ou Québec.
Le souverainiste Legault ne peut plus démocratiquement prétendre qu’il est loisible de tolérer ce qui NIE le principe premier de la démocratie sans conséquence démocratique. La conséquence de cette intolérable tolérance corrompt le principe premier de la démocratie, disqualifie l’État lui-même, incapable de se gouverner en conséquence.
Le PQ ne peut plus penser qu’il n’a d’accès au gouvernement que dans l’évitement de la souveraineté de l’État. Le vrai pouvoir est dès lors à sa portée.
QS ne peut plus se contenter de mettre de l’avant un programme constituant qui cependant que passe le temps jusqu’à ce qu’il prenne le pouvoir, fait en sorte qu’il tolère que soit NIÉE la démocratie qu’il prétend ainsi si mal défendre.
Lever l’hypothèque du bâillon
Les stratèges du Bloc et du PQ sont parvenus avec grande maîtrise à imposer le bâillon aux forces démocratiques du peuple souverain du Québec. Leur stratégie a heureusement frappé un mur le 2 mai dernier.
Le hasard a voulu que sur l’accessoire de la rénovation des règles devant prévaloir pour dynamiser la créativité des administrations municipales entravées par des règles technocratiques lacunaires de l’appel d’offres, 5 député,es du PQ, se disent ouvertement décidé à remettre sur le métier l’ouvrage péquiste.
Reste à faire en sorte que leur réintégration permette de lever le bâillon sur la question nationale et le destin démocratique de la souveraineté de ce peuple. La logique souverainiste ne peut plus prétendre au gouvernement en tolérant que soit NIÉE la souveraineté première qui fait du peuple, en démocratie du moins, le patron de l’État, quel qu’il soit, présent ou à venir.
Le présent État du Québec/Canada, NIE la primauté irréductible, incessible, inaliénable de la souveraineté du peuple du Québec. Par défaut. Par défaut ne n’avoir JAMAIS soumis les Actes qui le fondent, le constituent et le gouvernent, aux voix libres du peuple souverain du Québec. Les partisans démocrates de la souveraineté de ce peuple doivent cesser de tolérer que soit NIÉE cette souveraineté primale. Ils doivent S’ENGAGER à APPELER ce peuple à INVALIDER tout État qui n’a pas obtenu le clair OUI de la d&e |