Contre la démolition de la façade du Patro Saint-Vincent-de-Paul !
Pour une architecture responsable !
Il faut sauver LA MÉMOIRE de la façade du Patro !
La façade du Patro Saint-Vincent-de-Paul est le témoin tangible d’une insouciance historique à bannir !
Ce pourquoi il faut la sauver, comme un rappel signalétique tangible.
Intégrer aujourd'hui cette façade à l’architecture des bâtiments à construire sur le site de cet édifice démoli est construire un MONUMENT phare capable de nous rappeler de manière signalétique forte, à nous et à celles et ceux qui nous suivront, que les citoyens de Québec ont choisi depuis 20 ans et en le confirmant sollennellement en 2010 :
Il nous faut cesser de démolir pour construire ;
Il nous faut cesser de construire vite et mal, pour être démoli dans 50 ans ;
Un monument qui ne pourra que nous rappeler que les citoyens de cette Cité ont choisi résolument en 2010 de faire la rupture d’avec un passé révolu qui nous a fait détruire en lieu et place de construire.
Détruire des quartiers entiers, dont le quartier chinois aux pieds mêmes de cet édifice dont on décide aujourd’hui de conserver la façade.
Détruire la moitié du quartier Saint-Jean-Baptiste pour faire une autoroute qu’il nous a fallu détruire à coups de millions.
La façade du Patro est au centre même de ce secteur ravagé qu’on peine à revitaliser, à coup de millions.
Suffit !La façade du Patro, intégrée à l’architecture est un monument rappel signalétique exceptionnel.
Il est encore temps !
Il faut sauver la façade du Patro
Si nos aïeuls avaient détruit ce que leur parents ont construit, sous prétexte de banalité, comment Québec pourrait-elle être la Ville du patrimoine mondial qu’elle est aujourd’hui ? Comment Place Royale pourrait-elle être le centre névralgique de notre succès touristique ?
Si, il y a 50 ans, nos pères et nos mères n’avaient pas choisi de sauver ce qui pouvait l’être à Place Royale, comment le Vieux-Québec aurait-il pu être restauré comme il l’a été, sans cet exemplaire entreprise de sauvetage qui a donné à toutes et tous le goût de vivre dans ce que seul est en mesure de dégager la matière irremplaçable des pierres, du bois, du mortier et des clous assemblée par nos ancêtres de telle manière qu’il nous est impossible de reproduire autrement qu’en McWorldisneyant notre environnement.
Le projet soumis qui de surcroit choisit de détruire cet emblème signalétique de notre conscience nouvelle, n’est pas à la hauteur de ce que nos ancêtres nous ont légué. Pour les célébrer comme nous le faisons, pour en tirer revenus touristiques qui sont les nôtres, il nous faut au moins être à leur hauteur. S’y hisser n’est pas aisé, mais il en va de l’honneur de notre Cité.
Ce pourquoi un sursaut de dignité historique est toujours possible.
Les démolisseurs n’ont pas accompli leur œuvre. Il est encore temps de réagir !
Ce pourquoi il nous faut exiger des élu(e)s qu’ils révisent leur décision.
Les citoyens signataires demandent instamment aux élu(e)s, aux responsables des gouvernements de Québec, du Québec de revoir leur décision et exigent un moratoire sur la démolition de la façade du Patro Saint-Vincent-de-Paul pour ce faire.
Luc Archambault | Peintre, sculpteur, céramiste et citoyen
ENDOSSÉ PAR :
Le journaliste Pascal Poinlane de Radio-Canada | Québec, m'apprend que la démolition est commencée. La première tour est tombée et on s'attaque au fronton.
S'il est trop tard pour sauver la façade du Patro Saint-Vincent-de-Paul, il n'est pas trop tard pour questionner en profondeur notre culture qui a permis qu'on pense utile de détruire pour construire.
Signer AUJOURD'HUI ENCORE, et demain, cette pétition, permet de manifester le fait que d'aucun(e)s prônent un renversement paradigmatique salutaire à cet égard.
FAIRE LA RUPTURE D'AVEC UNE CULTURE DU NIVELLEMENT PAR LE BAS
Conserver cette façade aurait pu être l'emblème d'une rupture d'avec cette culture/démolition qui a saccagé, voire détruit des quartiers entiers de la capitale nationale du Québec, à commencer par le Quartier chinois au pied du Patro, destruction emblématique de la conscience artistique et citoyenne de Robert Lepage, porte-étendard de l'excellence créative de cette ville, cela... pour « construire » des autoroutes qu'il nous a fallu ensuite détruire pour retrouver une ville conviviale et belle, en retrouvant les vertus du boulevard, au moins ça...
Sa destruction est donc réciproquement et a contrario, emblématique d'un retour de vague regrettable, et qu'on regrettera dans peu de temps. Le temps qu'on s'aperçoive que la qualité totale n'est pas de ce côté là de la montagne qu'il nous faut gravir pour atteindre les plus hauts sommets de l'excellence. Excellence et qualité totale qui sont pourtant mises de l'avant par le maire Labeaume et sa génération, la mienne, qui pense faire mieux en bottant le cul de ses parents... et ce en quoi il faut l'appuyer : viser l'excellence, coups de pied de façade en moins et profondeur de la réflexion en plus...
Détruire... c'est l'erreur du sophisme fallacieusement constructiviste
Détruire le Patro, une erreur emblématique...
... de l'action erratique d'une nouvelle administration d'apprentis en formation ;
une destruction typique de l'inconséquence d'amateurs qui se sont contentés des sophismes de façade mis de l'avant par des opportunistes affairistes et technocratiques en conflit d'intérêts tirant profit du plus bas dénominateur commun sociétal, architectural et urbanistique ;
une destruction signalétique de la complaisance médiatique qui met en contradiction les propres vues de l'administration en cause, ou qui donne la parole aux opposants... quand il est trop tard ;
une destruction porte-étendard d'une idée fausse : l'inertie technocratique ne sera pas contrée par l'activisme inconséquent d'un secteur privé paresseux gouverné par la loi de la facilité ;
une destruction phare d'une culture du déni : comme si nier la contrainte pouvait nous aider à créer ce qu'il faut pour la dépasser, décuplant ainsi la force de sa création ;
une destruction dont on se souviendra dans 100 ans, comme on se souvient de la destruction du quartier chinois, via Robert Lepage ;
Voilà à quoi aurait pu servir, a contrario, la conservation de cette façade. Afficher la concrète matérialité d'une culture de la continuité, de l'excellence capable de créativité, d'invention. La contrainte est la mère de la créativité, c'est elle qui oblige l'esprit humain à se dépasser. Nier la contrainte, au besoin la raser, ne fait que nous priver de ce qui est au début, au centre et à la fin de l'oeuvre de création humaine.
L'histoire est une contrainte, elle nous impose un réel qu'il nous faut intégrer, c'est notre héritage. Détruire n'est pas la solution pour faire sa place, se manifester comme existant, en pleine possession de ses moyens.
Voilà ce que signifie signer aujourd'hui encore cette pétition.
Cette société a détruit le Patro Saint-Vincent-de-Paul dans la Côte d'Abraham à Québec, la question est : se détruira-t-elle elle-même en ne faisant pas la rupture nécessaire d'avec une idée du développement, de la créativité qui pense se trouver dans l'excellence quand elle est plutôt dans le déni ; qui pense se développer alors qu'elle ne fait qu'accroitre la pression sur son environnement en le consommant, le détruisant.
La contrainte qui nous force à questionner une logique de la puissance mal comprise, est non pas un empêchement au développement, mais bien ce qui nous permet de nous colletailler avec nos contradictions de manière à trouver comment exister, sans détruire ce qui nous permet d'exister, la nature, ce que nous avons été et qui nous fait être ce que nous sommes.
La conservation de la façade du Patro était une contrainte. Une culture de la facilité nous a fait penser qu'en la contournant nous pourrions être gagnants. Or c'est tout le contraire, elle ne fait qu'encourager une paresse intellectuelle, sociétale, médiatique, technocratique et culturelle qui est tout sauf être à la hauteur de nos ancêtres qui eux, nous ont légué une ville, des bâtiments, dans lesquels on peut habiter et vivre 400 ans plus tard, et desquels ont peut tirer des revenus touristiques en recevant le monde entier désireux de sentir ce que représente le fait de vivre dans une ville bâtie par de tels géants.
Sommes-nous des géants en contournant ainsi si facilement une contrainte pourtant pas si difficilement contournable ?
Je ne crois pas.
Et nous aurions pu continuer à penser que nous pourrions l'être, géants, si nous avions, plutôt qu'abonder dans un tel déni, profité de l'occasion pour être plus créatifs, inventifs, à la hauteur en somme des inventions de nos devanciers qui nous permettent de vivre dans une ville du patrimoine mondial incomparable.
Et nous pourrons l'être parce que nous nous souvenons, que nous nous souviendrons, que nous ne l'avons pas été aujourd'hui...
Avancer, se développer...
On ne comble pas les lacunes de nos techniques par moins de technique. On ne pallie pas une errance de la réflexion par moins de réflexion. On ne répare pas les défauts de notre culture par moins de culture, mais bien par davantage de culture, davantage de réflexion, davantage de technique.
Dommage qu'il ait fallu faire l'erreur de détruire… ce qui paradoxalement pourra nous permettre de construire une culture de la créativité et de l'excellence qui ne se berce pas de l'illusion sophistique qui ferait de l'absence de contrainte un moteur sans pareils.
La suite... Le projet du Musée du Québec... détruire encore... POURQUOI !?
Photo-Le soleil-2010 02 21-Patrice Laroche-
Des curieux
Tout le long de la journée, des curieux se massaient autour du périmètre de sécurité de la côte d'Abraham, qui est fermée pour la fin de semaine, afin de jeter un coup d'oeil aux travaux. À travers la foule, on pouvait reconnaître l'homme d'affaires Jacques Robitaille, propriétaire du terrain sur lequel il souhaite construire un hôtel, et l'artiste Florent Cousineau, qui réalisera une oeuvre d'art public à partir d'éléments de la façade.
«Nous garderons les corniches des portes situées au bas des tours, les trois arches ainsi que les inscriptions "Saint-Vincent-de-Paul". Ça devrait être suffisant pour le devoir de mémoire», a commenté l'artiste.
Quant à Jacques Robitaille, même s'il affirmait qu'il aurait été prêt à attendre encore 14 ans pour la démolition, il semblait très satisfait de voir la structure s'écrouler enfin. «Nous avons fait faire toutes sortes d'études, et ce bâtiment n'a aucune valeur. Même l'un des architectes qui avait travaillé au projet l'avoue!» a commenté l'homme d'affaires, qui dit avoir dépensé un demi-million de dollars en études et analyses.
«Si ç'a pris tant de temps, c'est à cause de deux ou trois chialeux, mais eux, ils ne sont pas là ce matin. Il n'y avait rien à faire avec cette façade, car seulement 20 % des pierres étaient encore bonnes et que le site était devenu trop dangereux. Bientôt, il y aura un bel hôtel à cet endroit», a-t-il conclu.
« Les actes de vandalisme commis par l’État sont les plus graves puisqu’ils sont pratiquement assurés de l'impunité, étant commis par ceux mêmes qui ont en charge de les réprimer. »
Tel que rapporté par Stéphane Brodu, signataire, dans son message afférent ( Voir 2010 02 18 | 05:08 )
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« (Québec) À l'heure où l'administration Labeaume veut faire du sport la clé de la lutte contre la pauvreté, Québec s'apprête paradoxalement à voir disparaître les dernières traces d'une institution qui en avait fait sa marque de commerce pendant près d'un siècle. Mais, sombre ironie, le sort du Patro Saint-Vincent-de-Paul aura en quelque sorte été scellé par l'automobile.
Durant la dernière campagne électorale, Régis Labeaume s'engageait à développer les installations sportives du centre-ville pour encourager les jeunes défavorisés. «Je veux qu'on revienne à l'époque des patros et des centres récréatifs. C'est pas du old fashion. C'est parce qu'il y a un besoin de regroupement. Quand j'étais jeune, je ne me posais pas de questions. J'allais dans un centre récréatif», confiait-il lors d'une entrevue au Soleil.
Pourtant, voilà 40 ans, Québec empruntait un chemin totalement inverse en décrétant la démolition de la piscine et du gymnase du Patro Saint-Vincent-de-Paul. Et ce, afin de permettre le passage de l'autoroute Dufferin-Montmorency. Du coup, la Ville plongeait l'institution dans une lente agonie qui se termine en fin de semaine, sous les pics des démolisseurs. »
Texte complémentaire ( non partie de la pétition )
Jeter aux poubelles de l'histoire ce que son père a construit...
Selon M. Archambault, le plus bel exemple d'intégration réussie est La Caserne de Robert Lepage qui combine une restauration en profondeur et un façadisme de carton-pâte.
Denis Darveau - Conseiller en relations industrielles agréé - Québec - Canada - Les démolisseurs sont encore à l'oeuvre à faire disparaître le joyau du patrimoine national du peuple québécois sa capitale la Ville de Québec. Des irresponsables s'attaquent à notre héritage collectif.
2.
2010 07 07 | 18:47
Hervé Bilodeau - Pauvre Humain-Ingénieur-Ancien du Patro et du Juvé - St-Bruno de Montarville - La Terre - Je voulais montrer à mon petit-fils Samuel un endroit où j'avais été très heureux, grâce aux sports et la camaraderie et qui m'avait sauvé de la délinquance et de la violence...Et je retrouve un grand trou, un grand vide, un stationnement! J'ai passé de longues minutes en silence...une partie de moi venait de disparaître et je me sentais coupable de ne pas avoir donner suite à mes discussions préliminaires avec le Frère Dupéré sur un projet d'hôtel respectant le cachet des lieux: façade lourde conserver pour couper le bruit du trafic et donner un certain prestige ancien et à l'arrière du verre, de la légèreté et de la lumière avec une vue superbe sur les montagnes.
Monsieur Robitaille, je vais sûrement aller dans votre hôtel et attendez-vous à recevoir un client qui sera très exigeant et qui sera prêt à vous faire une bonne ou une très mauvaise publicité! Comme vous le savez, dans tous les projets immobiliers, ce sont toujours les clients qui ont le dernier mot! Bonne chance!
Daniel Lévesque - Éditeur - Québec - Canada - C'est rendu que l'on détruit systématiquement les vieux immeubles à Québec. Le couvent des dominicaines sur la Grande-Allée, et maintenant la façade du Patro. De toute évidence, l'administration Labeaume n'a que faire du patrimoine architecturale de cette ville. C'est une véritable disgrâce.
12.
2010 02 20 | 13:11
Antoine Paquin - étudiant - Les Cèdres - Canada -
13.
2010 02 20 | 11:08
Didier Épars - Marchand de projets - Québec - CDN - www.sospatrimoinemaritime.com La Charte de Venise commence par le préambule suivant: "Chargées d'un message spirituel du passé, les oeuvres monumentales des peuples demeurent dans la vie présente le témoignage vivant de leurs traditions séculaires. L'humanité, qui prend chaque jour conscience de l'unité des valeurs humaines, les considère comme un patrimoine
commun, et, vis-à-vis des générations futures, se reconnaît solidairement
responsable de leur sauvegarde. Elle se doit de les leur transmettre dans
toute la richesse de leur authenticité".
Signée par l'Unesco en 1964
14.
2010 02 20 | 10:15
Suzanne Rochon - - Lévis - Canada -
15.
2010 02 20 | 09:42
Carlo Mosti - - Montréal - Québec -
16.
2010 02 20 | 08:31
Yvon Decelles - - Montréal - Québec -
17.
2010 02 20 | 05:49
Guy Le Sieur - - Montréal - Québec -
18.
2010 02 20 | 01:55
Pierre Schneider - Auteur et poète - Saint-Sauveur - Québec -
19.
2010 02 19 | 15:30
Jean Ouimet - Impresario - Montréal - Canada - Il faut sauvegarder cette magnifique architecture et pièce d'histoire et patrimoine
20.
2010 02 19 | 15:06
Roger Audet - Ingénieur - Saint-Irénée - Québec - Bâtir, bâtir, bâtir des routes
Sans cesse
Faire, faire, faire des autos
Sans cesse
Pitié, pitié, pitié pour notre patrimoine
Il meurt à petit feu
Le passé se noie dans le futur incertain de l'homme
21.
2010 02 19 | 13:38
Anne-Marie Berthiaume - Graphiste - L'Islet-sur-Mer - Canada - L'arbitraire (ou le passe-droit), dans ce dossier, semble primer sur toute autre considération. Pour cela aussi, il faut s'opposer à un tel dénouement !
Blais Renaud - Étudiant - Québec - Québec - Pour moi l'idéal pour remplacer le patro serait un parc d'utilisation public.
29.
2010 02 18 | 12:11
Marie-Christine Turcotte - - Québec - Canada -
30.
2010 02 18 | 11:17
Diane Messier - Analyste en informatique - Québec - Canada - Je pense que Québec a une histoire. Il est bon de se la rappeler.
Cet édifice est unique. Il a réussi à tenir debout pendant toute ces années. Donnons-lui une chance!
La vocation d'un hôtel étant justement de recevoir des touristes attirés par le patrimoine et l'histoire de la ville... C'est ironique de voir que c'est un tel édifice qui se construit au détriment même du patrimoine qui va le rentabiliser...
Que sera Québec dans 100 ans si l'on continue comme cela ?
Une ville d'hôtels modernes autour d'un vieux Québec mercantile, animés de temps à autre par des pseudo-fêtes historiques, davantage touristiques que culturelles et identitaires ?
Préserver c'est construire l'identité de Québec et s'assurer un futur touristique florissant...
Détruire c'est dilapider un capital sur lequel nous ne pourrons plus compter pour construire notre identité et notre économie touristique de demain.
La chance d'avoir encore en mains une façade "réutilisable" devrait à elle seule être considérée comme un bienfait et une opportunité.
Il me semble que c'est peu demander que de conserver une façade somme toute pas inélégante et appropriée pour une entrée d'hôtel ?
« Les actes de vandalisme commis par l’État sont les plus graves puisqu’ils sont pratiquement assurés de l'impunité, étant commis par ceux mêmes qui ont en charge de les réprimer. »
Louis Réau, « Histoire du vandalisme. Les monuments détruits de l’art français », édition augmentée par Michel Fleury et Guy-Michel Leproux, Paris, Robert Laffont, 1994.
Paul Charron - - Sainte-Louise - Québec - La démolition du Québec et de notre identité, ÇA SUFFIT!
38.
2010 02 17 | 19:14
Paul Lépine - - Québec - Canada -
39.
2010 02 17 | 19:05
Line Caron - - Lévis - Québec, Canada -
40.
2010 02 17 | 18:51
Réjean Bonenfant - Écrivain - Trois-Rivières - Québec - On ne se trompe jamais à conserver des jalons qui nous aident à baliser l'avenir.
41.
2010 02 17 | 18:09
Isabelle Journault - - Québec - Canada -
42.
2010 02 17 | 17:56
Louise Gravel - - Saint-Jean-Port-Joli - Québec - En perdant notre patrimoine architectural, nous perdons une partie importante de notre identité culturelle nationale! Il est important de réagir aux ambitions du maire Labeaume de «moderniser» Québec par une architecture «éclatée», c'est-à-dire en effaçant notre Histoire. «Je me souviens», est-ce bien notre devise nationale?
43.
2010 02 17 | 17:48
Martin Vachon - - Québec - Canada -
44.
2010 02 17 | 17:32
Pauline Pelletier - céramiste - Québec - Canada - www.paulinepelletier.com Par respect pour l'histoire.
Lucie Belleau - artiste mime - Québec - Canada - www.paradoxetparodie.com Voir du ciel au travers des portes et fenêtres d'une église ça donne des ailes aux anges. Et que si y a pu de place pour les anges y vont nous foutre un building. Amitié Lucie
48.
2010 02 17 | 16:41
France Salvaille - Retraitée - Québec - Canada -
49.
2010 02 17 | 16:38
Jean Claude Pomerleau - - Montréal - Québec -
50.
2010 02 17 | 16:23
André Gignac - retraité - Sainte-Adèle Québec - Canada -
51.
2010 02 17 | 16:18
Michelle Jacob - - Québec - Canada -
52.
2010 02 17 | 15:32
Sylvie R. Tremblay - Chef du parti Jeanne du Lys - Verdun - République Française d'Amérique -
Dominique Giroux - auteure et animatrice - Ste-Louise - Canada - Il serait intéressant de pouvoir intégrer les éléments de nos racines en vue de mieux déployer nos ailes vers le futur. L'un ne va pas sans l'autre.
57.
2010 02 17 | 13:44
Lyse Lafrenière - adjointe administrative - Québec - Canada - Je suis contre la démolition de la façade de l'église Saint-Vincent-de-Paul car elle fait partie du patrimoine québécois.
58.
2010 02 17 | 12:37
Jean-François Boisvert - - Québec - Canada -
59.
2010 02 17 | 12:23
Louise Maranda - - Beaumont - Canada - Québec est une ville patrimoniale et il est très important de préserver les oeuvres architecturales que nos ancêtres ont construites telle cette superbe façade qui pourrait être intégrée à une construction faisant appel à la créativité de nos artistes tels les architectes et artisans.
« Le passé est garant de l'avenir » à l'heure où on cherche une identité à cette merveilleuse ville, son architecture, ses rues, ses parcs, son fleuve, ses falaises et sa population sont ses images de marque qui font l'envie et leur préservation est primordiale pour l'avenir de Québec.
Sophie Fréchette - Citoyenne - Gatineau temporairement, Québec dans mon coeur - Québec -
62.
2010 02 17 | 11:55
Jean St-Pierre - - Saint-Jean-Port-Joli - Canada -
63.
2010 02 17 | 11:47
Bob Walsh - Musicien et chanteur - Montréal - -
64.
2010 02 17 | 11:42
Claire Pageau - - Ste-Petronille - Canada -
65.
2010 02 17 | 11:39
Claude G. Thompson - auteur - Lachine - Québec - L'architecture traduit l'âme des peuples et est le signe le plus évident de sa vivacité et de de sa créativité. Elle constitue l'élément culturel le plus immédiat avec lequel tout voyageur entre en contact lorsqu'il débarque en terre étrangère. Aucun pays digne de ce nom ne peut se permettre de voir disparaître le moindre élément qui participe de son fond patrimonial. Au Québec, nous n'avons que trop détruit et laisser détruire nos édifices patrimoniaux.
66.
2010 02 17 | 11:05
Dave Bernard - Horticulteur - St-Aubert - Canada - Ce serait désolant d'effacer en si peu de temps une image aussi forte de notre culture québécoise ! Il y aurait tant de choses à faire avec une tel merveille architecturale. Pensons à ceux de demain SVP!
67.
2010 02 17 | 10:57
Ève Fontaine - - Montréal - Québec -
68.
2010 02 17 | 10:54
Jeanne D. Dubé - Retraitée - Ile-Orléans - Canada -
69.
2010 02 17 | 10:38
Pascale Archambault - Artiste en arts visuel, sculpteure - Montréal - Canada - www.pascalearchambault.com Je suis née à l'Hôtel Dieu de Québec, J'ai vécu à Québec mes plus belles années, mon enfance et mon adolescence... ma grande tante y a eu son service funéraire et je me sens personnellement attachée à cet édifice ou ce qui en reste, ainsi qu'à tous les beaux vieux édifices qui racontent notre histoire individuelle ou collective.
Yvonne Tschirky - Artiste - Ste-Pétronille - CANADA - De tout coeur ! Il faut cesser ce ravage de notre patrimoine. Bien d'autres lieux sont en péril. Merci Luc de cette initiative.
Marie Mance Vallée - Resp. Collectif Nationalité française - Montréal - Canada - http://www.notrehistoire.net Il ne faudrait que le terrain sur lequel repose ce patrimoine architectural ne soit transformé en stationnement pour un McDo, par exemple...
75.
2010 02 17 | 09:55
Joseph Melançon - profsseur émérite, U.L. - Ste-Pétronille, Île d'Orléans - QUÉBEC - Bravo ! Enfin ! Misère de nous ! Des élus aussi moches devant des promoteurs aussi incultes ! Maudite "Économie d'abord" !
76.
2010 02 17 | 09:47
Michel Poirier - Analyste-programmeur - Le Gardeur - Canada - L'histoire est le lieu où est attaché le fils d'Ariane de la conscience collective.
77.
2010 02 17 | 09:32
Mario Gagnon - Commercant - Montreal - Canada - www.audio-occasion.qc.ca Il faut cesser de détruire notre patrimoine!
78.
2010 02 17 | 09:31
Christian Bédard - Travailleur culturel - Montréal - Canada -
Marie Hébert - - St-Antoine-sur-Richelieu - Canada -
81.
2010 02 17 | 08:26
Michel Roberge - Conseiller en gestion intégrée des documents - Québec - Québec - Il me semble qu'il existe de nombreux cas d'intégration d'anciens édifices à des nouveaux : ancienne prison de Québec, Palais des congrès de Montréal, le restaurant Le Panache, le Centre d'interprétation de la Place Royale, l'autre caserne... Et des horreurs tel le calorifère de la Grande-Allée en lieu et place des belles victoriennes d'autrefois. Le promoteur avait-il ici un problème avec l'intégration patrimoine religieux – affaires?
82.
2010 02 17 | 08:26
Marius Dubois - artiste-peintre - ste Pétronille - Québec - marius dubois .com Bravo pour cette initiative bravo mme Guerette,seule mais debout.
Diane LaflammeDiane - etraitée de l'enseignement - Charny - Canada - Merci de sauver des architectures riches qui font la beauté de notre si beau Québec. Nos visiteurs adorent ces édifices et ils sont notre mémoire.
Serge Charbonneau - - Québec - Québec - Ceux qui n'ont que des considérations "économiques" n'abandonnent jamais leurs projets profitables. Aucune considération historique, artistique ou même humaine, n'est retenue.
Conserver cette façade historique est trop coûteux et ne rapporte rien. Elle empêche la construction à faible coût d'un magnifique édifice moderne "rentable". Le maire Labeaume a en tête de faire disparaître cet inutile irritant depuis longtemps. Ces gens n'abandonnent jamais et parviennent généralement à leurs fins. Il nous faudrait une sensibilisation massive de la population pour contrer cette décision prise depuis très longtemps. Les gens d'affaires n'ont que les $$$ en tête. Ils ne respectent rien d'autre.
Serge Durand - Responsable communication - Québec - Canada -
92.
2010 02 17 | 07:18
Micheline Borduas - - St-Jérôme - Canada -
93.
2010 02 17 | 07:12
Roch Gosselin - retraité garde-forestier Duchesnay port - East Angus pq - Québec ... canada - Faut-il être méchant pour laisser détruire un patrimoine pareil ? Il faut dire à Charest quu'il sera puni pour avoir laisser détruire un pareil monument ?
Charest et Durham des charognard de l'histoire ?
Ce n'est pas parce que un arbre ne va pas nécessairement pour le papier, qu'il faut le brûler ?
le militant 53
Catherine Bahuaud - - Nantes - France - Pourquoi détruire un patrimoine ? La responsabilité liée à la réflexion des professionnels de l'immobilier ou/et des élus, peu permettre une évolution de la culture et de l'environnement qui soit digne d'une communauté. La destruction de Patro St Vincent-de-Paul apparait comme une solution de facilité au regard de certaines valeurs évidentes qu'il est parfois nécessaire de rappeler.
Je suis convaincue qu'en se mettant au service du raisonnement et de l'imagination des professionnels il est tout à fait possible d'envisager une entreprise respecteuse du patrimoine au détriment d'un comportement irresponsable et ignorant une éthique somme toute de base.
98.
2010 02 17 | 04:53
Guy Le Sieur - - Montréal - Québec -
99.
2010 02 17 | 02:53
Maxime Gaboriault - - montréal - Canada - Contre la démolition ! Pour la construction responsable !
Contre la démolition de la façade du Patro St-Vincent-de-Paul !
Pour une architecture responsable !
Oué !
100.
2010 02 17 | 01:15
Éric Harris - agent de sécurité - Laval - Canada -
101.
2010 02 17 | 00:57
François Beauchemin - Pharmacien retraité et musicien - Lévis - Québec -
Kathya Heppell - - Montréal - Canada - Mais Bon Dieu... et c'est le cas de le dire, quand est-ce que nous cesserons d'effacer impunément les traces de notre histoire ? Elles sont déjà si rares. Comment se fait-il que nous n'ayons pas encore compris l'importance de notre passé sur la couleur, la saveur et la texture de notre futur ? Même sans bâtiments pour en témoigner, ce sont des traits indélébiles de notre inconscient populaire. Merci de vous battre contre cette inconscience collective.
Kathya
105.
2010 02 17 | 00:31
François Beauchemin - Pharmacien retraité et musicien - Lévis - Québec -
106.
2010 02 17 | 00:19
Doris Roy - - St-Romuald - Canada - Je tiens à mon patrimoine bâti, surtout que cette façade est très belle et pourrait être intégrée dans un autre projet.
107.
2010 02 16 | 22:51
Louis Duclos - Retraité - Ste-Pétronille - QUÉBEC -
Anne Guérette - architecte et conseillère municipale - Québec - Canada - Je suis fière de vous les citoyens qui s'engagent dans des luttes comme celle-ci. Rappelons-nous que sans la vigilance de citoyennes et de citoyens engagés, nous n'aurions jamais la magnifique ville que nous avons et dont nous sommes si fière!
Alors c'est pour moi un grand plaisir de vous appuyer !